Les intérêts sociaux du personnel de l'ONEM piétinés par le ministre Ephrahim Akwakwa
Dans son discours de prestation de serment pour ce second quinquennat, le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, avait placé le secteur de l’emploi et du travail comme socle de son action sociale. Mais hélas !
Depuis l’installation du gouvernement Suminwa, ce secteur reste le canard boiteux de l’équipe gouvernementale, incapable de répondre aux attentes de la population. En cause ? Le ministre Ephrahim Akwakwa, qui tourne en rond, ne sachant par où commencer.
Après le pétard mouillé du nouveau SMIG — initiative désavouée par la Première Ministre elle-même, qui l’a sommé de l’abroger —, le ministre adopte désormais un comportement belliqueux dans l’administration de l’Emploi et du Travail. Il est même qualifié de pyromane, tant les tensions semblent s’enflammer à son passage.
Alors que la situation est déjà explosive à l’Inspection Générale du Travail, où une confusion générée par lui aurait mené à des affrontements internes entre agents (la justice étant désormais saisie), le ministre est à nouveau sous les feux des critiques.
Cette fois, c’est le personnel de l’Office National de l’Emploi (ONEM) qui l’accuse d’ingérence dans la gestion quotidienne, et surtout de bloquer toute initiative de décaissement de fonds en faveur des agents. Pour plusieurs, l’objectif du ministre semble clair : pousser les agents à la révolte.
Sa réputation de metteur de feu le précède. Mais à l’ONEM, le personnel a décidé de ne plus se taire : il dénonce désormais ouvertement le comportement du ministre Ephrahim Akwakwa et appelle les plus hautes autorités à intervenir pour que leurs droits soient enfin respectés.
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