La Sonas ressemble t-elle à une beauté de la tombe où tout est garni par dehors et tout est pourri par l'intérieur ?
C'est le constat donné après plusieurs observations où le personnel vit une misère indescriptible alors que le Directeur général et son staff vit dans une opulence royale.
Le personnel de la Sonas ne veux plus cacher leur misère sous la chemise et on décidé de dénoncer cet injustice sociale qui ne rime pas avec le discours du Chef de l’Etat sur l'amélioration du social.
Alors qu'il y a flambée des prix sur le marché des biens et services, le personnel de la Sonas est payé en franc congolais à un taux 1700fc/1$ alors que le Directeur général est payé directement en dollars américains. Mais ce qui est encore plus grave, il n'y a pas date précise pour percevoir son salaire.
Les uns perçoivent le salaire à une date, les autres sont obligés d'attendre une autre date.
Pendant ce temps, le Directeur général savour le goût de bifteck et coule le verre de Champagne dans l'insensibilité la plus totale sur la misère de son personnel qui les uns ont chassés par les bailleurs faute du paiement de loyer à temps, les autres sont devenus des malades.
Les primes sont données selon la forme de la tête des agents.
Le malaise est perceptible même chez les beneficiaires de remboursement d'assurance et les prestataires.
L'opération jeudi sinistre qui a donnée la crédibilité à cet entreprise du portefeuille s'est transformée en jeudi rendez-vous manqué où il y a aucun agent au lieu de l'opération même pas un message pour les sinistrés.
Pour les observateurs avertis, le Directeur général ne reflète pas la vision du changement social que prône le Chef de l'Etat où lui seul et son staff savoure l'opulence. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition.
Abina Mabunda.
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